Burundi: Le président Ndayishimiye engraisse trois taureaux à la fois : les FDS, les FDRL Interahamwe et la milice imbonerakure.
La clique militaire au pouvoir au Burundi n’aime pas entendre parler de présence des FDRL interahamwe au Burundi. Les sympathisants du cnddfdd vous diront que c’est un mensonge, car ils n’ont aucune information sur ce cas ou le savent et adhèrent aveuglement sans savoir le danger que cela présente pour eux, pour leur système et pour le pays. Tous ceux qui sont au courant de cette situation ne peuvent pas oser le dire tant qu’ils sont encore sur le sol burundais car craignent la machine à tuer du cnddfdd.
Mais, la réalité est que le Burundi, est plein des membres des fdrl interahamwe. Certains ont même été intégrés au sein des Forces de défense et de sécurité(FDS). Leurs leaders vivent au Burundi comme s’ils étaient chez eux alors qu’il y a des mandats d’arrêts internationaux qui les cherchent pour avoir participé dans le génocide des tutsis rwandais en 1994. Ils reçoivent du gouvernement d’Allain Guillaume Bunyoni de nouvelles cartes d’identités burundaises, (quelquefois sur de faux noms), des passeports burundais pour leur faciliter la mobilité dans la sous-région et dans le monde entier.
La réalité est qu’après les opérations effectuées par les forces armées congolaises sous la présidence de Felix Tchisekedi dans l’Est de la RD Congo, ces forces négatives qui ont commis le génocide des tutsis au Rwanda se sont senties acculées et se sont repliées sur le Burundi où ils occupent trois grandes positions dans la Kibira entre la commune Mabayi et Bukinanyana. Ces positions sont ravitaillées par une compagnie des membres de la force de défense nationale du Burundi se trouvant dans les environs. On aura vu sur les réseaux sociaux des boites de conserve marquées FDNB – fabrication chinoise ; elles étaient saisies sur un combattant FDRL capturé sur le terrain lors de l’attaque qu’ils ont mené sur le Sud du Rwanda en juin 2020.
Aujourd’hui, cette présence des fdlr sur le sol burundais commence à impacter négativement le citoyen lambda. Selon les informations captées sur certaines radios locales au Burundi, un certain Jean Claude Ndayishimiye de la colline Gafumbegeti, zone Butahana, commune Mabayi en province Cibitoke a été attaqué chez lui par un groupe armé qui l’a tué et blessé son fils. C’était la nuit du 28 au 29 septembre 2020. Le groupe serait venu de la kibira et y est retourné sans difficulté. Ndahabonimana Nicodeme, administrateur de Mabayi s’est contenté d’aller tranquilliser la population, leur demandant de rester solidaire et multiplier les rondes. Le gouverneur de Cibitoke a signalé que la sécurité est totale dans sa province, que sa population de la commune Bukinanyana a seulement eu peur en entendant des bandits armés qui ont été signalés dans la commune de Kabarore dans Kayanza
Selon des sources ben informées, Jean Claude Ndayishimiye serait tué par les membres des fdrl interahamwe se trouvant dans la kibira. Une action punitive car, étant un imbonerakure, il aurait détourné l’argent qu’il avait eu pour acheter différents articles pour ces interahamwe. Personne n’ose en parler de peur de subir le même sort, mais aussi pour tenter de cacher cette présence de ces forces négatives sur le sol burundais. Mais, on ne cache pas la fumée quand il y a le feu.
La famille de Jean Claude Ndayishimiye devrait demander à Evariste Ndayishimiye ce que font ces éléments étrangers sur le sol burundais. Il a les forces de défense et de sécurité en suffisance, il a des imbonerakure qui sillonnent tout le pays. S’il est vrai que il entretient un troisième taureau ( les fdrl) ; ce dernier risque de lui causer beaucoup d’ennuis qu’il ne le croie. Jean claude est peut être la première victime, demain il y aura d’autres. Ceux qui ont dit que c’est le cheval que tu engraisses qui te mord ont peut-être raison. Ces pauvres paysans qui sont forcés d’aller acheter le nécessaire pour la survie de ces interahamwe ont quel intérêt que ces étrangers soient sur le sol burundais ? Seuls Evariste Ndayishimiye et sa clique militaire au pouvoir qui ont signé des accords avec eux, qui les ont installé et qui les entretiennent savent à quoi ils jouent. Ils jouent probablement avec le feu car il est difficile de servir deux maîtres à la fois (Mathieu 6 :24)
Il est mauvais conseiller celui qui aurait dit à Evariste Ndayishimiye que sa paix et tranquillité ainsi que celles de son groupe seront garanties après avoir éliminé tous les tutsis de la région. Vouloir perturber la sécurité de ton voisin et croire que c’est ta manière de te protéger est plus qu’idiot. Un adage rundi dit que lorsque la maison d’un voisin brule, il faut aider à éteindre sinon la tienne peut aussi être atteinte.
Evariste Ndayishimiye et la clique militaire au pouvoir ont déjà montré au forces de défense et de sécurité qu’ils n’ont plus pleine confiance en elles ; sinon ils n’auraient pas entrainé et armé des imbonerakure, ils n’auraient pas intégré des interahamwe au sein de leurs gardes rapprochées. Ils se trompent quand ils croient que personne ne le remarque. Ces forces burundaises regardent et se taisent ; discipline militaire oblige. Mais, le moment viendra où Evariste Ndayishimiye sera mordu par ce cheval étranger qu’il est en train d’engraisser ou tout simplement lui aura causé d’ennuis sérieux sans avoir aucune possibilité de faire recours à ces forces de défense et de sécurité qu’il a humilié.
URN HITAMWONEZA ne cessera jamais de crier à qui voudrait bien l’entendre pour faire savoir que le pouvoir de Gitega a fait du Burundi un foyer de toutes les forces négatives de la sous-région qui n’ont d’autres buts que de commettre un autre génocide . Que les pays concernés ou les pays de la communauté de l’Afrique de l’Est, au lieu d’observer impuissant ce phénomène, prennent des dispositions nécessaires pour étouffer le projet dans l’œuf tant qu’il est encore possible. Nous n’ignorons pas que certains chefs d’Etat soutiennent ce projet sanguinaire du pouvoir Ndayishimiye, mais nous pensons qu’ils ne pourront pas le défendre séance tenante. Ils sont seulement capables de faire échec aux réunions, mais les âmes de bonne volonté ne leur empêcheraient pas de continuer. La vérité finira par triompher, le bien vaincra le mal. WhatsApp contact: +31685638237
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