Burundi: Des criminels déguisés en réfugiés commencent leurs actes par leurs femmes.
Nous l’avons toujours dit et nous le répétons pour tous ceux qui veulent nous écouter et prendre leurs dispositions. Il y a des réfugiés qui ont fui le pays pour exécuter une mission de recherche de renseignement pour le pouvoir cnddfdd. Ils sont payés pour leurs prestations. Ce sont les mêmes éléments qui désignaient les lieux d’habitation des réfugiés qui ont été arrêtés par la police tanzanienne pour les remettre au service de renseignement burundais. Les uns ont été tués et jetés dans la Malagarazi, d’autres ont été acheminés de force au Burundi, torturés puis emprisonnés (ceux qui ont eu la chance de survivre à ces tortures). Ce sont ces envoyés spéciaux du pouvoir de Gitega, en collaboration avec le gouvernement tanzanien qui soutient ce pouvoir pour ses propres intérêts, qui forcent les autres à se faire enregistrer pour retourner au pays malgré l’insécurité persistante car les conditions de vie dans les camps deviennent de plus en plus intenables.
La plupart de ces gens envoyés dans les camps sont des membres de la milice imbonerakure qui n’ont appris qu’à tuer et qui n’hésitent même pas de tuer leurs femmes ou enfants. Ils sont devenus comme des animaux féroces à cause du sang qu’ils ont sur leurs mains. Le nuit du 4 au 5 Octobre 2020, un certain Saidi du camp de Nyarugusu en Tanzanie a osé poignarder sa femme enceinte, son bébé est mort et la femme est sous soins pour tenter de sauver sa vie. Le criminel a pris fuite, il est dit que la police le recherche. La grande probabilité est qu’il serait aujourd’hui déjà arrivé au Burundi.
Nous vous parlions dans notre édition de ce 05 octobre 2020 des signes avant-coureurs qui montrent que le camp de Mahama au Rwanda est sur le point d’être perturbé par des gens manipulés par le pouvoir d’Evariste Ndayishimiye. Plus de 150 toilettes ont été détruites par ces gens pour retirer des fers à bâtons. Certains ont été surpris chez eux avec ces fers à bâtons d’un mètre de long, aiguisés comme des lances. Des enquêtes sommaires ont montré que 5 toilettes ont été détruites au village1, 06 au village 2, 04 au village 3, 03 au village 4, 03 au village 8, 10 au village 9, 04 au village 10, 08 au village 13, 01 au village 14, 20 au village15, 14 au village16, 22 au village17, 60 au village18.
Et ce n’est pas une surprise de voir que, Jean Paul Ndirahisha, habitant le village 18 (là où beaucoup de toilettes ont été détruites pour récupérer les fers à bêton), vient de blesser à mort sa femme sur la tête. Le matériel utilisé n’a pas été bien identifié, mais la plaie est très profonde. Heureusement que Leoncia Uwimana (sa femme), n’est pas morte sur le champ, elle sera soigner et pourra retrouver la bonne santé. Le criminel est dans les mains de la police ; il n’a pas eu la chance de fuir comme Saidi de Nyarugusu. L’inscription au rapatriement volontaire serait à la base de leur dispute. Le mari voulait à tout prix rentrer tandis que sa femme rétorquait que la sécurité n’est pas encore garantie au Burundi. Et Jean Paul de lui faire savoir qu’il ne peut pas la laisser en vie au camp. Ainsi dit, ainsi fait. C’est par la grâce de Dieu que Uwimana respire encore.
URN HITAMWONEZA réitère encore un fois sa demande adressée aux premiers responsables en charge des réfugiés, d’user de toutes les stratégies pour séparer les bons grains de l’ivraie car il semble que le pouvoir de Gitega soit décidé à en finir, par tous les moyens, avec la question des réfugiés. Pour Evariste Ndayishimiye et sa clique militaire au pouvoir, la présence des réfugiés burundais dans les camps prouve à la communauté internationale que le pays connait encore des problèmes sérieux de sécurité. Or, ils savent eux-mêmes que leur machine à tuer est en marche, mais croient être capables de le cacher par les discours alléchants. Ils oublient que ce n’est pas le sourire d’Evariste Ndayishimiye qui motive les réfugiés à rentrer, mais que ce sont des actes concrets qui sont visibles sur terrain. Ce n’est pas au moment où des réunions se tiennent régulièrement à travers tout le pays pour mobiliser la milice imbonerakure à la vigilance pour écraser toute personne qui n’épouse pas l’idée du système cnddfdd que les gens vont rentrer. Ne rentreront que ceux qui ont fui sans cause visible, ou ceux qui sont sur mission du pouvoir. Le reste est prêt à attendre le retour à la sécurité, à la paix pour tous.
Nous insistons pour que ceux qui ne se sentent pas encore en sécurité au pays soient protégés car ils sont menacés par les corrompus du pouvoir d’Evariste Ndayishimiye. Il serait mieux que ces derniers soient ciblés, fouillés et isolés afin de les faire rentrer dans les meilleurs délais avant qu’ils ne commettent des crimes comme ils ne cessent de le dire
Les réfugiés paisibles doivent rester vigilants, lucides et alertes pour contribuer à veiller sur ces criminels qui veulent perturber leur sécurité afin de les dénoncer à temps pour que des mesures conséquentes leurs soient prises. WhatsApp contact: +31685638237
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